critique
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Pour son deuxième long métrage, Dani Rosenberg choisit d’évoquer le conflit israélo-palestinien par le prisme d’une histoire d’amour naissante, mais il peine à trouver le ton juste.
Après “La Colline où rugissent les lionnes”, la cinéaste et actrice de 23 ans confirme son talent. Avec ce deuxième long métrage, elle capte les désillusions de deux amies tiraillées entre leurs rêves d’émancipation et la violence d’État.
La chaotique famille britannique recomposée revient avec “Forgiveness Is Yours”, un quatrième album subversif qui botte le cul de l’industrie musicale petite-bourgeoise à grands coups de mélodies irrévérencieuses.
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Pour ce onzième album, pas de grand surprise (mis à part les 31 titres !) mais une efficacité non dénuée de sincérité, comme l'accusent à tort ses détracteur·ices. En boucle sur ses émois, bien entourée de Jack Antonoff et Aaron Dessner, plume affirmée, Taylor Swift bouleverse toujours son public.
Toujours plus impressionnant, le rappeur français poursuit sa quête d’identité en infusant son deuxième album de bass music et d’abstract hip-hop.
Le quatuor signe un premier album pop élégant et sensible. Une invitation à la lenteur et à la rêverie hautement recommandée.
L’adaptation du roman de Viet Thanh Nguyen, servie par un Robert Downey Jr. aux rôles multiples, est un curieux objet, parfois fascinant, souvent inconstant.
Échappé du supergroupe Club Cheval, Cédric Steffens se lance dans l’arène du premier album. Où la house ambient cousine avec le clubbing nineties.
Signal adressé à une Amérique coupée en deux à l’approche de l’élection, une vision du retour de la guerre civile oscillant entre coups d’épate et frappantes réussites.
Malgré quelques gimmicks ronflants, le premier film de Zara Dwinger nous embarque dans un road trip ébouriffant entre une mère (dysfonctionnelle) et sa fille de 11 ans.