critique
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Une thriller psychologique à tiroirs sans grand relief malgré une Sandrine Bonnaire remarquable.
L'electro version arabe sur le deuxième volet d'un triptyque inventif et expérimental.
Entre jolies mélodies, engagement en filigrane et affirmation de soi, un retour éclatant pour la chanteuse française.
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Un portrait de l'artiste japonaise qui donne les clefs pour comprendre son œuvre, initiée dès les années 1950.
Un trio de jeunes adultes talentueux emportés dans un tourbillon enthousiaste par l'un des plus beaux personnages de l'œuvre de Woody Allen : New York. Une vraie cure de jouvence.
La relation d'une peintre et sa muse se charge de désir et interroge le regard que l'une porte sur l'autre autant que le nôtre sur elles.
Anthony Gonzalez, exilé outre-Atlantique, tourne le dos à la pop mainstream pour un retour vers le passé planant.
Sur le sixième album signé de son nom, le flamboyant Gallois puise ses inspirations dans un terreau métissé. Le résultat s'avère totalement réjouissant.
Epuisée par New York et une rupture amoureuse, Kazu a trouvé refuge sur l’île d’Elbe. Sensible et serein, son premier album émerveille.
“Je suis africain” est à l’image de son auteur décédé le 12 septembre 2018 : plein de panache, nourri de nuits festives et de joie contagieuse. En un mot : vivant.