critique
{"type":"Banniere-Haute"}
Un premier film magnifique en forme de récit d'initiation, où un jeune homme découvre à New York la culture afro-queer et remet son identité en question.
Un cinquième épisode très poussif et outré, que la performance de Sly ne parvient pas à sauver.
De la série au cinéma, la création de Michael Engler perd son sous-texte social et sa gravité pour ressembler à un épisode à rallonge pour fans only.
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Ce vaudeville autour de la tromperie, transposé dans les années 1960, échoue à renouveler le genre.
Le premier film de Antoine Russbach, glaçant, ausculte le monde du travail sans complaisance ni manichéisme.
“The Unbelievable Truth”, “Trust Me” et “Simple Men”, les trois premiers films de cette figure du cinéma indé US des années 1990, sont à revoir.
Plongée dans l'histoire et le quotidien d'une ville de banlieue, grâce au conte urbain et onirique de Manon Ott.
Les New-Yorkais de DIIV puisent une inspiration renouvelée chez leurs aînés (True Widow, Slint) et ne déçoivent pas avec un troisième album au son lourd et au propos sincère.
Acteur éminent de la French Touch, Jean-Yves Prieur aka Kid Loco brise un long silence et revient à l’electro suave de ses débuts.
Le trio danois Efterklang est de retour avec un cinquième album orchestral à l'ADN baroque.