critique
{"type":"Banniere-Haute"}
Un survival movie subaquatique sous haute influence cameronesque.
Un retour très attendu, sans doute trop.
A seulement 24 ans, l'Américaine impose définitivement sa pop indie, rétro et langoureuse.
{"type":"Banniere-Basse"}
Un premier film qui, malgré l'universalité de son sujet, s'égare dans un trip psychanalytique.
Avec ce quatrième album, la formation londonienne néo-soul atteint des sommets.
Dans cette autofiction torturée, Ferrara fait de Willem Dafoe son alter ego, un artiste maudit dont la félicité domestique vire au cauchemar lorsqu'il est rattrapé par sa jalousie maladive et ses fantasmes de persécution.
Une famille sino-américaine décide de cacher à son ailleule sa maladie incurable. Une comédie sophistiquée qui manque d'émotion.
Réhabilitation du concept-album avec les Anglais, qui évoquent ici la Première Guerre mondiale et le monde nouveau qui s’épanouira sur les cicatrices des tranchées.
Dans ce film noir emberlificoté, les malfrats planquent des magots et communiquent en sifflant. Ce sixième long métrage d’un maître de la Nouvelle Vague roumaine parfaitement exécuté peine à convaincre sur la longueur.
Moins barré, plus carré, le défouloir de Kevin Barnes, Of Montreal, accouche de sacrés tubes sucrés.