critique
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La course effrénée de deux soldats filmée en un long plan-séquence : un parti pris virtuose, parfois envahissant, mais qui trouve in fine sa nécessité.
Juste avant leur tournée de reformation, les turbulents Anglais s’offrent une rétrospective plantureuse.
En entremêlant classique et électronique, le mystérieux prodige français orchestre avec maestria le come-back de Bach dans les bacs.
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Une vibrante chanteuse portugaise et un aventureux musicien espagnol revisitent le fado en beauté.
De nouveau en trio, les Canadiens enchaînent les tubes sur un cinquième album qui fait le pont entre les années 2000 et les eighties. Le son des 2020 ?
Trente ans après sa sortie, le premier album des Britanniques revient dans une version augmentée de 15 titres. Indispensable.
La chanteuse américaine affirme la richesse de son timbre et son don mélodique dans un second album solo attendu depuis 2003. De quoi réchauffer les plus difficiles des hivers.
Sans jamais tourner le dos à l'expérimentation, There Is No Year s'inscrit dans une spontanéité pop plus prononcée. Et consolide ainsi la place d'Algiers au panthéon moderne des groupes majeurs.
Un douzième album qui marque le retour de ces amoureux de folk onirique, chanté avec précaution et sensibilité.
Un disque de danse primale démontre que le quatuor de Toronto n'a rien perdu de sa rage.