critique
{"type":"Banniere-Haute"}
Splendide, rétrofuturiste et incroyablement dense : le quatrième album du musicien suisse est une évasion cosmique connectée aux émotions du monde réel.
Les potards toujours dans le rouge, les sales gosses d’Atlanta défoncent les conventions pour électriser les foules.
Une production étincelante réinvente le classicisme folk sous l'égide de Justin Vernon (Bon Iver) et des frères Dessner (The National).
{"type":"Banniere-Basse"}
Les précurseurs du post-punk reviennent avec un dix-septième album toujours rageur.
Superbe nouvel album d’un trio atypique cultivant un envoûtant esperanto musical.
Avec son quinzième album dédié à un ami mort, l’Anglais s’inspire de ses débuts dans l’electro des années 1990. La nostalgie a parfois du bon.
Le musicien échappé d’Aquaserge frappe au plus juste et en plein cœur. Entre paroles sociales et discours amoureux.
La fin d’un monde, d’une certaine Italie et d’un certain cinéma italien qui regrette son âge d’or filmée avec une insondable mélancolie.
Un commando est envoyé en mission pendant la guerre d'Algérie. Un pensum pseudo-antimilitariste affligeant.
Le réalisateur de The Lunchbox reprend les recettes éprouvées de la comédie romantique. Pour amateurs de réchauffé.