critique
{"type":"Banniere-Haute"}
Le retour d'un fils sur ses terres d'enfance. Un film académique empêché par une écriture corsetée.
Un documentaire d’une puissance émotionnelle rare sur les traces du photojournaliste, disparu au Cambodge en 1970.
Au début des années 1990, une poignée de Cubains s’installe à Miami et infiltre un groupe anti-castriste. Inspiré d’une histoire vraie, le réalisateur réussit son pas de côté vers le cinéma d’espionnage.
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Le pari risqué de faire rire en mettant en scène un petit garçon nazi aboutit à un gentil film, conformiste et oubliable.
Un biopic prévisible sur fond de racisme et d'injustice aux Etats-Unis, qui trouve son intérêt dans la rencontre de ses deux acteurs principaux.
Neuf traducteurs sont cloîtrés pour retranscrire le nouveau tome d'un best-seller. Un ratage complet.
Ressortie du deuxième long du cinéaste, déambulation fauchée dans les rues d’Austin au fil de conversations glanées par la caméra. Un dispositif formel audacieux, qui capte l’esprit d’une génération insouciante et pose les jalons d’une singulière filmographie à venir.
Après Winter Brothers, le cinéaste islandais navigue prodigieusement entre les genres et fait coexister toute une palette de tonalités.
Le réalisateur d’It Comes at Night navre avec cette fresque sociale qui ausculte avec maniérisme et complaisance les tourments d’une famille CSP+ afro-américaine.
Le duo israélien revient avec un second album sans surprise mais joliment troussé. On se laisse volontiers séduire.