critique
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Aaron Maine et sa bande opèrent un retour à cœur ouvert et la chair à vif.
Le dandy cool Jonathan Wilson s'est expatrié à Nashville pour un retour aux sources qui atteint des hauteurs vertigineuses.
Resserré sur les prémices de l’appel du 18 Juin, un portrait classiquement hagiographique, avec un Lambert Wilson habité par son personnage.
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Le documentariste dévoile “Woman”, mosaïque de portraits de femmes engloutie par son dispositif.
L’autopsie d’un couple plongée dans le New York mondain eighties avec un Nosferatu dandy. Une œuvre oubliée dans les méandres des années 1990 qu'il faut absolument voir ou revoir.
Quelques jours dans la vie d'une jeune mère célibataire malgache. Une fiction épurée qui puise avec talent dans le documentaire.
C’est en petite forme que Pixar signe son retour aux projets originaux, avec ce récit d’apprentissage dont les enjeux dramatiques ne rattrapent pas complètement le graphisme raté.
Un musicien un peu loser se perd dans le labyrinthe de la frontière turco-chypriote.
L'adieu à l'enfance et l'apprivoisement de la mort travaillent ce coming-of-age movie porté par une jeune actrice bluffante.
Le portrait d'une icône de la télé éducative américaine qui se noie dans le sirupeux.