critique
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La collaboration ambient des deux frères Eno produit de jolis effets.
Huit ans après avoir célébré les noces du hip-hop et du mouvement queer, le New-Yorkais dévoile un premier album, mouvant, radical pour danser jusqu’à l’extase.
Le doc à deux têtes (Scott Gilmore/Eddie Ruscha) poursuit ses passionnantes explorations électromélodiques.
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Après des mois de hype, les Londoniens de Sorry sortent enfin un premier album sur lequel leur étrangeté n'a jamais semblé aussi pop.
L’Anglais s’épanouit comme auteur-compositeur-interprète avec Farewell to All We Know, un nouvel album d’une étincelante beauté.
Un brillant jeu d’équilibriste entre critique sociale et portrait pétillant d'une majordome brésilienne à la croisée de deux mondes.
Servie par un joli casting, cette comédie d’émancipation féminine au souffle kitsch se perd en cours de route.
Une histoire d’amour fantasque dans un Paris de carte postale, déclinaison platement illustrative du roman éponyme de Mathias Malzieu.
En s'interrogeant sur l'idée de procréation face au danger du nucléaire et à l'urgence climatique, le couple de réalisateurs livre un road-movie mental aussi stimulant que joyeusement bordélique.
Dans ce film inégal sur la lutte pour le droit à l’avortement, la force surgit au cœur du soulèvement populaire.