critique
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Située cinq ans après “Paris 1900”, cette saison 2 effectue une coupe sociologique de la capitale rongée par la syphilis et d’une Belle Époque aux ombres pénétrantes.
Un duo parisien qui joue avec le punk indus synthétique en le teintant d’influences baggy.
Un large ensemble musical (re)formé, This Immortal Coil, salue le duo anglais expérimental en signant un disque ample et spectral.
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La franchise spin-off de “Shrek” s’offre un relooking à la mesure de ses ambitions très élevées, mais n’a toujours rien à raconter.
Avec un premier EP étincelant, la jeune Française démontre qu’elle maîtrise le mélange des genres à la perfection.
Le cinéaste franco-algérien (“Indigènes”, “Hors-la-loi”) se pare d’une sobriété nouvelle et bienvenue pour restituer les deux affaires qui secouèrent la France en 1986.
Une histoire de vengeance, des gros muscles et de la pluie torrentielle... Avec “Kanun, la loi du sang”, Jérémie Guez caricature le genre du polar à l'extrême.
Erige Sehiri raconte une journée de travail agricole dans la chaleur de l’été, sous forme de comédie de mœurs très fine.
L’impermanence du sentiment amoureux en trois parenthèses estivales subtilement mises en scène.
La Québecoise réalise un teen movie empli de sensualité et d’étrangetés, inspiré par une BD de Bastien Vivès.