critique
{"type":"Banniere-Haute","device":"desktop"}
Dans “Un petit frère”, la réalisatrice Léonor Serraille dévoile un très beau personnage féminin, Rose, interprété par Annabelle Lengronne.
L’orfèvre expérimentateur allemand livre un cinquième album chatoyant dont la rigueur minutieuse n’a d’égale que l’ardeur folâtre.
Derrière l’éclat trompeur d’un été, une fillette passe, sans le savoir, ses dernières vacances avec son père. Sensation des festivals, ce premier film est porté par le charme fêlé de Paul Mescal.
Recevoir l’agenda de la semaine
{"type":"Banniere-Basse","device":"desktop"}
Huit ans après “Vincent n’a pas d’écailles”, “La Montagne” dépeint l’expérience physique d’un ingénieur irrésistiblement attiré par les sommets.
L’auteur figure du manga d’horreur révèle son penchant pour l’humour trash avec cette série hilarante et jamais méchante.
Sa vie durant, l’Américaine révéla dans sa chambre noire les milliers de gens de passage et habitant·es de son village du Wyoming, témoins d’un monde aujourd’hui englouti.
Au Centre Pompidou-Metz, c’est un vaste panorama transdisciplinaire, des années 1960 à nos jours, qui est dédié à l’exploration des liens entre l’art et la science-fiction. Où s’affirme la possibilité d’une construction matérielle des (futures) utopies du XXIe siècle.
Dans la suite de son autobiographie dessinée, l’autrice continue de revisiter son enfance avec ténacité et un humour satirique.
Le prestige du centre d’art pionnier et école curatoriale modèle de Grenoble s’était terni au cours de la dernière décennie. Repensée, l’institution propose une exposition inaugurale rassemblant onze artistes et évoquant “la puissance de l’amour”.
En quatre épisodes passionnants, cette série “LSD” de Manon Prigent sur France Culture retrace une histoire du non-désir d’enfant, de ses origines religieuses à ses récentes justifications environnementales.
