critique
{"type":"Banniere-Haute","device":"desktop"}
L’autrice des “Pleureuses” revient avec “Intimités”, un roman porté par la voix d’une narratrice solitaire et déplacée.
Deux vibrantes introspections exemptes de concession pour voyager d’un hall en chantier dans la périphérie à la chambre d’un hôtel de luxe à Hong Kong.
Le troisième album d'Émile Sornin, construit comme un film convoquant tous les genres du polar au cinéma bis, est surtout une ode à la musique d’illustration et à la chanson “bizarre”. Une réussite totale.
{"type":"Banniere-Basse","device":"desktop"}
Dans “Laisser être et rendre puissant”, le philosophe déploie une métaphysique qui cherche une forme de paix dans cette guerre que l’on se fait les un·es aux autres. Un texte qui défend une pensée non hégémonique.
Le blockbuster qui doit tous nous sauver est presque intégralement raté : une belle leçon d'arrogance gauloise.
Dans “Chant balnéaire”, Oliver Rohe se souvient du Liban où il a grandi et met en scène une situation où la violence contamine les relations humaines.
Ayant notamment et grandement contribué à la redécouverte du cinéma de Guy Gilles ces dernières années, on peut se réjouir que Gaël Lépingle, cinéaste discret à l'œuvre jeune et marginale, trouve aujourd'hui une distribution pour son long métrage de 2018, “Seuls les pirates”. Le film bénéficie d'une sortie groupée avec son dernier film, “Des garçons de province”, un triptyque sur la jeunesse queer des bourgs.
Le nouveau film de M. Night Shyamalan fascine dans son dispositif, et dans ce qu'il convoque de la filmographie de son géniteur, avant de s'égarer dans une conclusion idéologiquement douteuse.
Le long métrage “Des garçons de province” esquisse trois douces histoires de ruralité queer et teintées de mélancolie.
Pour son premier long métrage, le comédien ose déjouer les attentes du récit où qu’il déploie. Prometteur.