critique
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Vingt-cinq ans après son précédent album solo, le songwriter et producteur londonien revient aux affaires et affirme une passion pour la musique toujours intacte.
Quand l’ordinaire se dérègle et devient fou, que se passe-t-il ? L'autrice argentine interroge les fantômes du passé politique de son pays dans un formidable recueil de nouvelles.
Le duo de Liverpool s’aventure en terre inconnue dans les pas de Bill Callahan ou de Bonnie ‘Prince’ Billy. Entre errances existentielles et virées urbaines frénétiques, une réussite absolue.
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Sans prévenir personne, Geoff Barrow et sa bande publient un quatrième album grandiose mais jamais démonstratif, générateur d’une musique plus précise, plus forte et plus maîtrisée qu’elle ne l’a jamais été.
Avec “In This City They Call You Love”, l’ex-guitariste de Pulp signe un dixième album envoûtant où il choisit de tout miser sur sa voix.
Trois ans après “Cinema”, le groupe américain continue à marier les styles avec classe, tout en enrichissant son monde d’une ambiance lynchienne.
En ignorant les genres et les frontières, la jeune Parisienne exilée à Londres démontre sa pleine contemporanéité.
Ce premier long élégiaque, objet “sans genre et sans frontières”, célèbre la jeunesse queer de Medellín.
Pour le faire-part de naissance de sa fille, Natasha Khan enchante et ensorcelle à nouveau par sa voix céleste et ses envolées mystiques.
Ce conte shakespearien sur fond de guerre des gangs à Marseille manque cruellement de subtilité.