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En restant branché sur les seventies, le duo parisien Ulysse Cottin et Armand Penicaut poursuit son rêve américain avec un sens du groove toujours aussi sûr.
Avec “Way Back Home”, le producteur français (Damso, Charlotte Gainsbourg ou Disiz) slalome entre les genres pour tenter de nous faire nous sentir comme chez lui.
Le trio formé par Thom Yorke, Jonny Greenwood et Tom Skinner redouble d’ambition et surprend en tutoyant les sommets en matière d’ambient paranoïaque.
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Le metteur en scène cible la liberté de ton des sociétés du Moyen Âge et nous invite à vivre les tribulations d’un jeune homme plongé dans un sommeil énigmatique.
L’actrice raconte son travail sur “May December”, le nouveau film de Todd Haynes dans lequel elle interprète avec brio une vedette de cinéma à la personnalité trouble. Un rôle parmi les plus équivoques de sa carrière.
Toujours romantiques mais plus affirmé·es, les Californien·nes marchent sur les pas du Paisley Underground pour délivrer une musique qui se veut tout à la fois joyeuse et nerveuse.
Le deuxième album de Thomas Jean Henri Van Cottom confirme le talent immense de son auteur pour construire des miniatures intimes comme autant de songes en suspens.
Dans son premier long métrage, Noé Debré gomme les frontières entre comédie rassembleuse, drame social, brûlot politique et fantaisie weird.
Avec “People Who Aren’t There Anymore”, le groupe américain mené par Samuel T. Herring triture les machines, creuse sa veine expérimentale et emporte les corps.
Le réalisateur de “Carol” nous jette en pâture toute la cruauté et le cynisme des passions de la bourgeoisie blanche américaine.