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Dès les années 1970, cette autrice japonaise pionnière a introduit dans le manga des questions toujours brûlantes.
Trois remakes et la réédition d’une console mythique : retour au jeu vidéo primitif, celui de la fin des années 1970 et du début des années 1980, pour des plaisirs régressifs – en mieux.
Rosine Mbakam, cinéaste camerounaise installée en Belgique, retrace le parcours de son héroïne dont la vie fait écho aux rêves sacrifiés de nombreuses femmes.
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Alchimiste pictural, l’auteur belge se lance dans un récit d’aventures à plusieurs dimensions autour d’un fils élevé par son père dans les théories complotistes.
L’adaptation du roman de Martin Amis scrute la banalisation du mal à travers la vie paisible que mène la famille du commandant d’Auschwitz tout près du camp.
Lucky Love enflamme la semaine parisienne de la haute couture, le casting éclectique et avant-garde du festival de Hyères et l’exposition “La traversée des apparences”… C’est le cool de la semaine
Retraçant les missions d’un groupe de bombardiers américains durant la Seconde Guerre mondiale, la série de John Orloff produite par Spielberg et Hans remplit son cahier des charges sans supplément d’âme.
Dans ce récit intime et puissant, la dessinatrice retrace la vie d’aïeules qui ont échappé à la déportation.
Le 1er mars, sur disque et sur scène, on pourra découvrir “C’est à moi ça” de Gwendoline, le successeur d’“Après c’est gobelet !”, premier album du duo. Rencontre avec Pierre Barrett et Mickaël Olivette.
Alors que l’on peut enfin découvrir à Paris sa création d’après “Les Émigrants” de W. G. Sebald, le maître polonais prend la parole. Il nous raconte le travail, collectif et personnel, sur un texte à l’écho très intime et sa vision de son pays confronté à d’importants bouleversements politiques.