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À travers l’histoire des siens au fil du XXe siècle, la poétesse russe a signé un labyrinthe narratif, historique et intellectuel vertigineux, pour saisir l’écueil de la mémoire.
S’incarnant en gourou d’une secte, le dessinateur français propose avec “Toonzie” un trip délirant et hallucinogène.
Cette semaine, l'édito cinéma de Jean-Marc Lalanne s'arrête sur un motif récurrent dans deux films sortis cet été.
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Alors que la menace Bolloré pèse sur le monde de l’édition, il faut lire “Le Fétiche et la Plume – La littérature, nouveau produit du capitalisme” d’Hélène Ling et Inès Sol Salas, essai salutaire et très documenté.
Le stakhanoviste musicien français livre encore un très bon album, dans l’esprit (frappeur) d’un collage dadaïste.
Inspiré par Sète, Benjamin Biolay revient avec ”Saint-Clair”, deux ans seulement après son triomphal “Grand Prix”. Où il se raconte, tout en croisant The Strokes, Weezer et The Flaming Lips, et en invitant Clara Luciani à duettiser.
Pour son premier album à lui, le chanteur et bassiste de The XX se dévoile à travers une pop inclassable faite de cordes et de machines, et irrésistiblement accrocheuse. Sublime.
Avec deux musiciens brésiliens, le héros 90’s Doug Martsch s’ouvre de nouvelles perspectives, mais parvient à conserver sa signature sonore. Un brillant entre-deux.
Embrassant tous les possibles du format court, ces deux créations brillent par la contemporanéité de leurs thèmes et leur approche subtile de la narration.
La cinéaste impressionne à nouveau en confrontant trois rescapé·es d’une attaque terroriste à leurs traumatismes. À la fois simple et profond.