cafeyn
{"type":"Banniere-Haute"}
Le dandy pop revient avec un quatrième album d’une troublante beauté où il entremêle minimalisme, sonorités jazz et textes poétiques.
Sur huit morceaux amples et voluptueux, la chanteuse anglaise dépasse ses doutes.
Avec “Harlequin”, la Viennoise nous offre l'un des meilleurs albums pop de 2022, sous influence de Todd Rundgren et Curtis Mayfield mais aussi d’un clown triste, Pierrot. Fascinant.
{"type":"Banniere-Basse"}
Dans cet (auto)portrait lumineux, le Coréen accompagne avec grâce le crépuscule d’une actrice.
Avec cette installation chorégraphique singulière, la Cap-Verdienne oscille entre le macabre et la joie pour bousculer nos sens.
Le nouveau Romain Gavras sort sur Netflix : beaucoup de crânerie dans cette esthétisation complaisante de “la banlieue qui s’embrase”.
S’appuyant sur une somme invraisemblable d’archives, le documentaire livre un portrait foutraque mais émouvant de la star britannique.
Avec une pudeur touchante, la cinéaste propose une variation très personnelle sur le “faire famille”.
La série de Cécile Ducrocq, plongée fictive dans les coulisses du Palais Garnier, fixe ici son axe sur les états de corps limites que la danse induit.
Sans tourner le dos à ses premières amours, le rappeur regarde la chanson française droit dans les yeux avec “Mauvais Ordre”, un troisième album qui, malgré d'évidents tourments, comporte des refrains irrésistibles.