Où est le cool ?
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L’industrie a su cerner et tirer profit des nouveaux rites, besoins et codes cloisonnés liés à nos sociétés confinées en lançant des tendances et des produits adaptés. Lesquels forment dorénavant un secteur à part entière : celui de la “lockdown fashion”, la mode sous confinement.
Dans le Missouri, le National WWI Museum and Memorial dédie une exposition à l'innovation et à la symbolique des styles arborés par les Françaises pendant la Grande Guerre.
Le cool de cette semaine fait des puzzles d’artistes, se chausse de baskets tunées, scrolle le compte Insta d'étudiant·es en fashion design et repense sa lingerie.
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L'engagement politique est vogue dans l'industrie, mais se limite à du marketing maquillé en militantisme - produisant l'effet inverse des valeurs prétendument défendues.
Dans une longue enquête du New York Times datant du 24 octobre dernier, on apprend que la rédactrice en chef du Vogue américain "a favorisé un milieu de travail qui mettait à l'écart les femmes de couleur".
Quelques questions au créateur de 42 ans Tom Van der Borght, qui redéfinit le luxe avec une vision joyeusement utopiste.
Cette semaine, le cool s’est aventuré du côté des finalistes de la 35e édition du Festival international de mode, de photographie et d'accessoires de mode de Hyères.
Née en France et élevée dans la Silicon Valley, la créatrice confronte haute couture et haute technologie.
Figure de proue de la mode archi-pointue londonienne, le concept store imagine un anniversaire dressant des ponts entre son histoire et son avenir.
Cette semaine, le cool est bien coiffé, ressuscite la Callas, reprend les concerts et présente ses travaux de fin d’année.