Où est le cool ?
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Skaters, fluo kids, gothiques : l’industrie de la mode ressuscite via des bricolages audacieux les codes underground de différentes époques, à l'image d'une génération TikTok nourrie par une culture internet où les espaces-temps se confondent.
Un ouvrage recueille les recettes miracles des plus grand·es chef·fes pour lutter contre les maux de lendemain de soirées arrosées.
Dans les interstices des réseaux sociaux se dessinent des espaces aux esthétiques utopiques qui combattent, d’un optimisme subversif, les crises dystopiques du présent.
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Cette semaine, le cool multiplie les collabs, entre France et Japon, high-tech et stylisme.
Paul B. Preciado est l’invité d’At Home, le premier épisode d’Ouverture of Something That Never Ended, série de sept films courts soutenant la visibilité LGBTQ+ coréalisés par Gus Van Sant et le directeur artistique de Gucci Alessandro Michele. Le philosophe queer y parle d’amour et de visibilité trans.
Converse, rang de perles et blouses thatchériennes... Luca Marchetti décrypte pour nous le style caméléon de Kamala Harris, vice-présidente des Etats-Unis, aux côtés de Joe Biden.
Cette semaine, le cool hésite entre discrétion et curiosité, s'habille en hard discount, danse en streaming et se réinvente sadcore.
Le nouveau scandale de l’industrie de la mode, qui sera diffusé samedi 21 novembre sur France 2, dévoile les dessous du travail forcé de cette minorité musulmane, en Chine. De nombreuses marques de mode ont été récemment épinglées dans un rapport, accusées de se fournir auprès d'entreprises chinoises qui ont recours à ces travailleurs.
La réalisatrice Sarra Ryma signe un film pour la marque Atlal, qui rend hommage tant aux vêtements traditionnels algériens qu'à une multitude d’identités et de cultures, sans distinction de genre.
Ne vous fiez pas à la promesse de “body-positivity” dont se targue aujourd'hui l'industrie de la mode. Comme nous le raconte Gabrielle Deydier, autrice et réalisatrice de travaux sur la grossophobie, son amour pour le style est à sens unique : “Notre société capitaliste est tellement grossophobe qu’elle préfère se refuser une part du marché plutôt que de vêtir une clientèle grosse.”