Musique
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On sent chez toi des passions multiples : blues, folk, country, pop, rockabilly. Quel est, de tous ces genres, celui qui t’a le plus marqué ? Sans doute est-ce le rock’n’roll, que j’aime par-dessus tout. J’écoute aussi beaucoup de disques de country, même si le rock et la pop m’ont toujours attiré de manière plus […]
Les réseaux secrets reliant les hommes qui disent non dévoilés par un méticuleux géomètre de l’Histoire. Attendue depuis dix ans, voici enfin la traduction de Lipstick traces, une histoire secrète du vingtième siècle. Ou comment Greil Marcus, fameux rock-critic américain, a entendu l’écho des dadaïstes et des situationnistes dans les trois minutes d’Anarchy in the UK des Sex Pistols.
Tisserand des textures époustouflantes du Wu-Tang Clan, RZA s’aventure en solo sur RZA as Bobby Digital, brillant exposé d’un son qui n’appartient qu’à lui. Un son à la fois opaque et lumineux, dense et léger, qu’il n’hésite pas à prêter à Björk ou à Texas.
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Jacques Bonnaffé a réuni quelques malades pour une hospithéâtralisation. Opération réussie.
Pour l’an 2000, le photographe Luc Choquer a un projet énorme : tirer le portrait des Français de cette fin de siècle.
Glouton gourmet de musiques, DJ Morpheus exhibera sa sensuelle culture derrière les platines d’une salle rennaise dont le nom lui va comme un gant : Liberté Haut. Car de liberté et de hauteur, il est souvent question chez cet apatride érudit, à la carrière déjà impressionnante.
Ce sera l’événement de ces vingtièmes Transmusicales : samedi soir, les platines mythiques de Fatboy Slim toucheront pour la première fois le sol français. Un sol soudain instable et glissant, bombardé par la furie bacchanale de ce DJ entonnoir, le plus puissant antidépresseur de l’époque. Des Housemartins à la house tout court, de Freakpower au pouvoir, le parcours en montagnes russes d’un survivant.
Le festival des Transmusicales de Rennes 98 prouve que c’est dans les melting-pots qu’on fait les meilleures soupes épicées. De la venue événement de Fatboy Slim aux mémoires tendres d’Etienne Daho, de l’ambitieux projet de Yann Tiersen à la culture en mouvement de DJ Morpheus, panorama d’un vingtième anniversaire qui ne sent pas l’hospice.
Jumelé gagnant à Nanterre avec André Wilms, qui joue Max Black, mis en scène et en sons par Heiner Goebbels. L’acteur en phase totale avec son sujet démontre une fois encore son incroyable sens du trafic.
Trois albums ambitieux et personnels témoignent encore de la vitalité et de la diversité de l’électronique française. Quand adviendra la VIème République, on sera bien embêté au moment d’attribuer un quelconque portefeuille à Ark, personnalité entre deux conceptions de la dance-music. Quand, autrefois, il menait Trankilou avec Pépé Bradock, les choses étaient simples, leur house […]