Musique
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Au Mans, deuxième étape d’une exposition tête chercheuse, « Grand atelier », autour de quelques artistes du cru épris d’ambiances et de fictions intimes. Un joyeux foutoir.
Très présent à l’étranger, exposé l’an dernier à la Tate Gallery de Londres, l’artiste Jean-Marc Bustamante montre à Paris le fruit de ses recherches plastiques, entre photographie, peinture, sculpture, dessin. Après trois ans d’absence, portrait d’un méconnu.
Performance, photo, sculpture, installation… Sans Breitling mais avec un simple ballon jaune, l’artiste allemand Hans Hemmert refait le tour de l’art en 80 péripéties.
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Immatérielle, la voix est d’ordinaire réservée à la scène, au chant, au théâtre, voire au cinéma, mais est plus inattendue pour ce qui est du domaine des arts plastiques. L’école du Fresnoy y consacre justement une exposition plutôt tentante sur le papier : Vito Acconci, Gary Hill, Pierre Huygue… Seul problème : une fois sur […]
Avec Nos oeuvres complètes 2, Grand Magasin dresse le catalogue raisonné de la totalité de ses interventions.
La musique semble occuper une place essentielle dans votre vie et dans votre oeuvre de sculpteur. Ce qui me lie à la musique est à la fois spirituel et sexuel, car pour moi c’est la genèse de tout. Par genèse, je veux parler de pulsion, de rythme, de sexualité, de la jubilation de la naissance. […]
Le ministère de la Culture doit annoncer l'ouverture début 2000 d'un centre d'art contemporain à Paris. Enfin !
Avec un cinquième album luxuriant, The Middle of nowhere, l’électronique renfrognée d’Orbital retrouve le sourire. Un sourire enfantin et innocent : celui d’un groupe totalement libéré des contraintes du dance-floor et des purismes, comme le confirmeront la semaine prochaine des concerts euphoriques.
Le romancier anglais Jonathan Coe et le chanteur français anglophile Louis Philippe ont tant de points communs qu’ils sont devenus amis intimes. A l’occasion de la sortie d’Azure, le nouvel album du mini-souverain de la pop, dialogue entre deux gentlemen au style fleuret moucheté.
On découvre France Cartigny, et le choc est violent. Pour l’amour d’un album qui traverse avec la même agilité d’impressionnants orages électriques et des faux plats paisibles, on a même appris à manger du verbe tartare, à se goinfrer de mélodies crues. Il ne faudrait jamais laisser sa fille écouter RTL seule la nuit.