Livres
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Le courant littéraire anglais des Angry Young Men revit grâce à la réédition de “Samedi soir, dimanche matin” d’Alan Sillitoe, et de livres de John Wain et de Keith Waterhouse. Un écho à la crise existentielle de la jeunesse d’aujourd’hui ?
Servie par des couleurs enchanteresses, une chronique acerbe de l’adolescence, portrait d'une certaine Amérique.
Dans Homo intellectus, une enquête sur le supposé effacement de l’intellectuel, Jean-Marie Durand documente que l’espèce n’est pas vraiment en voie de disparition. Plutôt sur le chemin d'une réinvention, moderne et foisonnante.
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Entre expérimentations, récits de genre ou autobiographie, voici les 50 meilleures BD de la décennie, selon la rédaction. Un choix éminemment subjectif mais une réalité : la créativité ne s'est jamais aussi bien portée.
Leïla Slimani a fait une entrée remarquée en littérature avec son premier roman, Dans le Jardin de l’Ogre, en 2014. Deux ans plus tard, elle obtient le prix Goncourt pour Chanson douce. Elle a également signé l’essai Sexe et mensonges – La vie sexuelle au Maroc.
Voici, classés par ordre croissant, les livres qui ont particulièrement compté pour nous dans cette décade, marquée par le réel et la dureté de la vie.
Il est apparu de façon fracassante en 2014 avec En finir avec Eddy Bellegueule, et a continué à nous passionner avec Histoire de la violence et Qui a tué mon père.
Adieu l’autofiction, bonjour le monde : de Michel Houellebecq à Leïla Slimani, d’Edouard Louis à Virginie Despentes, la décennie a été fortement marquée par une irruption du réel dans la littérature. Politique, forcément.
Cette dernière décennie a vu la BD repousser les limites du cadre et réinventer la notion même d'album dans une réalité qui aura frappé tragiquement son temps, le 9e art comme forme de résilience.
La décennie 2010 marque la disparition de la pensée individuelle au profit d'une sphère intellectuelle collective plus ou moins anonyme apparue dans les marges de la contre-culture.