Livres
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Du féminisme, de l’émotion, des obsessions, de l’anticipation : comment réussir sa rentrée BD.
Après Ostwald, un premier roman social et postapocalyptique remarqué, le jeune Thomas Flahaut revient avec Les Nuits d’été, fiction dans laquelle il continue d’ausculter le désarroi de la classe ouvrière française.
[Rentrée littéraire] Avec Histoires de la nuit, Laurent Mauvignier met en scène un thriller dans la France des Gilets jaunes, et décrit une réalité sociologique avec subtilité et complexité. Du grand art.
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[Rentrée littéraire] Marseillais pur jus, Hadrien Bels signe l'un des premiers romans les plus excitants de la rentrée. Chronique punchlinée de l’embourgeoisement de sa ville, Cinq dans tes yeux sonne comme une ode au Marseille des nineties et aux minots du Panier.
Les Gilets jaunes, l'impuissance de la politique… Les écrivain·es attendu·es comme Alice Zeniter, Eric Reinhardt ou Laurent Mauvignier ou les découvertes Fatima Daas, Hadrien Bels et Thomas Flahaut s'emparent des phénomènes sociaux. La rentrée 2020 est différente : elle est plus anxieuse et engagée que jamais.
[Rentrée littéraire] A 25 ans, Fatima Daas s’impose comme la révélation de la rentrée avec La Petite Dernière, une autofiction qui pulse comme un rap ou une incantation, où la narratrice oscille entre l’intérieur et l’extérieur, sa famille d’origine algérienne et la France, sa sexualité et l’islam, jusqu’à trouver sa juste place. C’est-à-dire s’autoriser à ne pas choisir.
[Rentrée littéraire] Un jeune journaliste enquête sur la façon dont le gouvernement français a abandonné l’invention d’internet aux Américains. Avec Comédies françaises, Eric Reinhardt signe son roman le plus politique et le plus acerbe sur le pays, la droite, le lobbying.
[Rentrée littéraire] En mettant en scène un jeune assistant parlementaire et une hackeuse dans Comme un empire dans un empire, Alice Zeniter interroge différentes facettes de l’engagement politique dans une France en crise.
Le livre s’impose bien comme une nécessité en période de crise et nombre d’écrivain·es en témognent en cette rentrée particulière.
Dans ce recueil de textes, essais personnels ou commandes, Jonathan Franzen aborde réchauffement climatique comme littérature, et rend hommage à son ami David Foster Wallace.