Arts & Scènes
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Le street artist Thoma Vuille, plus connu sous le nom de Monsieur Chat, encourt trois mois de prison ferme pour dégradation. A cause d’un chat dessiné sur un mur de la Gare du Nord, destiné à être recouvert. Interview.
En septembre 1971, une mutinerie sanglante dans la prison d’Attica dans l’Etat de New York révélait les discriminations vécues par les minorités noires et carcérales. Une formidable exposition au Point de Jour à Cherbourg documente l’histoire de cette révolte et mesure la persistance de sa force symbolique dans l’imaginaire des luttes sociales.
Comme chaque année, le festival nantais Scopitone s’apprête à révolutionner la rentrée musicale et à confirmer sa place de choix dans le classement des meilleurs événements post-estivaux. Un point sur les meilleures raisons de s’y rendre, sans hésiter un seul instant.
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Dans le cadre de sa saison hors les murs, le Théâtre de la Ville présente trois œuvres de Bob Wilson dans différents lieux de la capitale, notamment Faust I+II au Châtelet.
Témoignant avec humilité de sa passion pour 2666, Julien Gosselin gagne son pari d’un théâtre mis au service de la littérature, capable de refléter toute la démesure du roman-fleuve de Roberto Bolaño.
A la galerie Chantal Crousel, le collectif se cachant sous le nom de Reena Spaulings réalise un portrait de la France sur le vif et s’amuse à arbitrer un match Houellebecq vs Pokémon. Confondant.
Chaque semaine, le meilleur des expos d’art contemporain, à Paris et en province.
La galerie Thaddaeus Ropac dévoile dans une impressionnante exposition monographique une grande partie de l’oeuvre de l’artiste américain James Rosenquist. Une figure importante du pop art mal connue en France, dont la célèbre toile « Four New Clear Women » irradie Pantin.
C’était lundi 12 septembre, aux Beaux-Arts de Paris. L’artiste était accompagnée de Daria de Beauvais, curatrice au Palais de Tokyo, pour lui donner la réplique, et d’une chanteuse lyrique pour « traduire » ses propos. Naïf est celui qui s’attendait à une conférence académique venant de Laure Prouvost, vidéaste, mais surtout conteuse et metteuse en scène romanesque.
La Fondation Beyeler revient sur l’histoire du légendaire almanach édité par Wassily Kandinsky et Franz Marc à Munich en 1912, « Der Blaue Reiter ». Un moment décisif de l’histoire de l’art moderne, ici magistralement évoqué à travers la redécouverte de toiles magnifiques, notamment celles peu connues en France de Marc.