Arts & Scènes
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Vidéaste et performeuse, la Californienne Shana Moulton se glisse dans la peau de “Cynthia”, addict à la spiritualité new age et aux tutoriels de beauté. En creux, une critique féroce mais non moins envoûtante d’une société sans aspérités (et sans pores apparents) qui promet le bonheur à portée de clic. Rencontre.
La Fondation LUMA accueille dans ses murs un résident quelque peu singulier. Le pantin animatronique de Jordan Wolfson y résidera jusqu’au 24 octobre avant déménager au Stedelijk Museum d’Amsterdam à l’occasion d’une grande exposition consacrée à l’artiste.
Se faire un nom : l’impératif guette tout artiste au tournant. Pas étonnant alors que l’adoption de pseudonymes ou l’invention d’alter-ego fictif constitue une échappatoire prisée. Artiste et théoricien, Nicolas Giraud travaille depuis une dizaine d’année sur et avec des artistes fictifs. Décryptage.
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Jusqu’à mi-décembre, la Fondation Calouste Gulbenkian met l’incertitude et ses corollaires – l’intranquillité, l’inconnu, le possible – à l’honneur en programmant une série de conférences, de films et d’expositions qui questionnent le temps présent et notre avenir. Vivifiant et stimulant.
Dans une exposition très visuelle malgré son sujet littéraire, le Petit Palais retrace la vie fascinante de ce dandy irrévérencieux dans l’Angleterre victorienne, de la gloire à la chute.
Chaque semaine, le meilleur des expos d’art contemporain, à Paris et en province.
C’est depuis cette phrase issue des Notes sur Anna Akhmatova qu’Isabelle Lafon envisage son cycle de trois pièces. Dans un dispositif simple, original et audacieux, la metteure en scène adapte des textes littéraires de Lydia Tchoukovskaïa, Virginia Woolf et Monique Wittig. Avec Les Insoumises, elle fait résonner, par le biais de l’enfance, de la politique, […]
Dans la Ville rose, le Printemps de septembre se déploie cet automne sous le signe de la “pluralité des mondes”. Y affleurent des œuvres de Stan Douglas, David Shrigley, Hans Op de Beeck ou Ragnar Kjartansson.
Invitée d’honneur du Festival d’Automne à Paris, la chorégraphe américaine voit ses pièces jouées dans plusieurs théâtres parisiens. Elle expose aussi ses archives au CND de Pantin (Nothing Personal – 1963-1989, jusqu’au 17 décembre), ainsi que les fruits de ses pratiques graphiques réalisées avec l’artiste conceptuel Sol LeWitt à la galerie Thaddaeus Ropac/Pantin (jusqu’au 7 janvier)
La comédienne Judith Chemla convoque les multiples visages de l’héroïne de La Traviata dans un opéra de poche où l’intime des mots le dispute au lyrique dans un précipité d’émotions.