Arts & Scènes
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Dans l’exposition “Wall drawings, Icônes urbaines” au musée d’Art contemporain de Lyon, onze street-artistes venus des quatre coins du monde ont peint à même les murs du musée, reflet d’un message ou d’une histoire, celle de leur pays.
Elles sont les voix critiques d’une scène internationale, un espace de discussion et surtout un observatoire de l’art en train de se faire. Focus sur 5 revues d’art contemporain.
Regroupant une vingtaine de jeunes artistes français, l’exposition « Le Nouveau monde industriel » transpose à l’ère du co-working les réflexions communautaires du socialiste utopique Charles Fourier. Nicolas Bourriaud, commissaire de l’exposition, revient avec nous sur les nouveaux mondes de l’art contemporain en France. Entretien.
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Les Frac (Fonds régionaux d’art contemporain) ouvrent leurs portes ce week-end pour mieux faire connaître leurs collections. L’occasion de découvrir, parmi les 23 lieux répartis dans toute la France, l’œuvre sidérante du père de l’installation sonore Max Neuhaus au FRAC Franche-Comté, à Besançon.
Pierre La Police expose à la galerie parisienne Arts Factory, qui fête ses vingt ans, quelques dessins illuminés par la présence de ses personnages Fongor Fonzym et les frères Thémistecle. Entretien avec un monstre hilarant du dessin.
C’est en lisière des dunes de la côte ouest des Pays-Bas, à quelques kilomètres de La Haye, que le musée privé Voorlinden a ouvert ses portes en septembre. Construit dans un champêtre écrin de verdure, il abrite la collection de l’industriel néerlandais Joop van Caldenborgh.
A Nice, la Villa Arson propose Run Run Run, une exposition laboratoire dans laquelle cent vingt artistes se rencontrent en toute liberté.
Avec l’éblouissant Yoshi Oïda en chef de troupe, Dorian Rossel relève le défi de porter au théâtre une des œuvres majeures du cinéma d’Ozu.
Le Ballet de Lorraine ose l’anonymat des chorégraphes invités. Pour libérer le regard ?
« Sculpt », le nouveau film de l’artiste Loris Gréaud, c’est le casting d’un block-buster, les images sous influence d’une dystopie sulfureuse, et la diffusion qui sied son époque : virale et clandestine. La première parisienne (gratuite) du film se tiendra dans la nuit du 6 au 7 novembre. Un événement inratable, on vous explique pourquoi.