Arts & Scènes
{"type":"Banniere-Haute"}
Avec nicht schlafen, Alain Platel met la musique de Mahler en mouvement.
Avec Un musée imaginé, magistrale exposition rassemblant près d’une centaine d’œuvres venues de Beaubourg, de la Tate Liverpool et du MMK Francfort, le Centre Pompidou-Metz propose un parcours tendu par une question : “Et si l’art disparaissait ?”
Pirate Heart est la première exposition parisienne depuis vingt ans de l’Italien installé à New York. Consacrée à l’amour, elle est à voir jusqu’au 23 décembre 2016 à la galerie Daniel Templon, Paris IIIe
{"type":"Banniere-Basse"}
S’accordant avec brio à J. M. Coetzee pour gratter le vernis de la toile idyllique de l’après-apartheid, Jean-Pierre Baro dévoile la violence de l’ordre moral qui subsiste en Afrique du Sud.
AU CAPC, à Bordeaux, l’artiste Rosa Barba propose un voyage quasi fantastique dans les couloirs de la mémoire audiovisuelle à travers une installation géante, De la source au poème. Une pièce qui interroge la question de la mémoire et de la technique.
Chaque semaine, le meilleur des expos art contemporain à Paris et en province.
Amoureux de La Recherche du temps perdu, Krzysztof Warlikowski décline la saga proustienne dans un cabaret qui épingle l’art et la politique du XXe siècle avant d’éperonner le désespoir contemporain.
La Britannique Cally Spooner convoque à la galerie gb agency deux danseurs qui, dans un geste de transmission et de désappropriation, incarnent une critique sévère des schémas néolibéraux.
A la Biennale de Rennes, Ed Atkins présentait Safe Conduct, sa nouvelle installation vidéo. On y assiste, dans un décor d’aéroport-usine, à la symphonie magistrale et glaçante d’un monde rendu fou par ses obsessions sécuritaires.
Avec Pierre Maillet derrière les fourneaux, la comédie de Lee Hall devient une farce métaphysique où l’on ne peut s’empêcher de voir l’ombre comique d’un clin d’œil à Pier Paolo Pasolini.