Arts & Scènes
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Un "Black Mirror" français sur Netflix, une série d’auteur signée Dominik Moll, le retour réussi de Fabrice Gobert après "Les revenants" : une moisson française inégale pour le festival de Séries qui s’est ouvert à Lille le week-end dernier.
Le festival investira la capitale belge du 23 avril au 5 mai pour deux semaines placées sous le signe des découvertes musicales.
Présent à Alger dès les premières manifestations de février, l'écrivain Mohamed Kacimi y était à nouveau ces dix derniers jours, et nous livre le récit de ce qu'il a vu, vécu, entendu. Le réveil d'un peuple après des décennies de silence et d'interdiction de manifester face à un pouvoir moribond qui refuse de l'admettre.
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Adapté du roman éponyme, la pièce commémore à sa manière les quatre-vingts ans de l’exode des réfugiés espagnols vers la France après la victoire de Franco.
Solitude, désir, figures tutélaires… Dans un touchant solo coécrit avec son compatriote Marc Vanrunxt, le chorégraphe belge se met à nu.
Pour témoigner de la vie légendaire de l'actrice, ce monologue à la langue ciselée s’affranchit de la simple évocation biographique en convoquant la rigueur de la conférence et l’imaginaire des contes.
L’expo collective "Take Care" explore les tenants et les aboutissants du “care”, concept en vogue qui impulse de nouvelles formes d’alliances solidaires.
Le sculpteur allemand déploie l’ontologie d’un individu fondamentalement seul, nu et démuni, à travers des œuvres à la fois grotesques et poignantes.
Entre l'insouciance des années 1910 et les prémisses de la guerre, une poignées de jeunes peintres allemands sont sur le point de révolutionner la peinture. Le musée de l'Orangerie ouvre un dialogue entre deux d'entre eux, August Macke et Franz Marc. Visite en images.
Krystian Lupa signe la mise en scène de l’ultime pièce de Thomas Bernhard. Celle-ci, de politique, se fait funèbre, passant par toutes les étapes du deuil. Chacun s’accorde à voir en Krystian Lupa le plus sensible des exégètes pour ce qui est de l’œuvre de Thomas Bernhard. Le maître polonais démontre une nouvelle fois la sensibilité de ses liens avec le dramaturge autrichien en montant "Place des héros" avec la troupe magnifique du Lithuanian National Drama Theatre de Vilnius.