Arts & Scènes
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Notre sélection hebdomadaire de spectacles à ne pas louper.
Fable aux allures de thriller psychologique, Die Anderen (Les Autres), création d’Anne-Cécile Vandalem à la Schaubühne de Berlin, est une dystopie politique s’interrogeant sur les conséquences de l'incurie de l'Europe concernant l'accueil des réfugiés.
Une rencontre avec une autrice puissante, un bain de foules militantes, la poésie du numérique, une décennie de nuits festives à Paris et deux semaines de hip-hop à Lille.
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A l'occasion du spectacle Compulsory Figures de Xavier Veilhan, l'artiste dialogue avec Renaud Sabari de l'agence ARTER afin de raconter les coulisses de la production d'un spectacle hors du commun.
Valérie Lesort et Christian Hecq proposent une relecture de la nouvelle de George Langelaan qui emprunte plus à Strip-Tease qu'à Cronenberg.
Dans le décor imaginé par Aurélia Guillet, les replis de la mémoire se font voilage et les souvenirs prennent voix. Le Train Zéro est le récit d’un homme victime d’un régime totalitaire, seul face à ses fantômes.
Chambre d’écho aux textes des patients des institutions psychiatriques, cette création musicale et poétique plonge le spectateur au cœur de la psyché troublée.
Créée par Catherine Marnas au Théâtre national de Bordeaux avec les élèves de l’école qu’elle dirige, A Bright Room Called Day de Tony Kushner se révèle, plus de trente ans après sa création, plus actuelle que jamais. En s'emparant de cette pièce, la metteuse en scène pointe du doigt les glissements progressifs vers le fascisme, qui opèrent encore et toujours.
[Le plasticien est décédé à 76 ans ce mercredi 14 juillet 2021, à cette occasion nous vous proposons de (re)lire cet article] Au Centre Pompidou, la rétrospective “Faire son temps” consacrée au plasticien français parcourt cinquante années de création réunies dans une scénographie immersive invitant à effectuer sa propre traversée initiatique.
Surtout connue pour ses reproductions d’œuvres d'autres artistes, l'Américaine a réalisé à la fin de sa vie des vidéos qui anticipent au seuil des années 2000 l'image digitale à l'ère de la consommation et du divertissement : sa circulation, son nivellement, notre addiction coupable.