Dans son nouvel opéra surréaliste, William Kentridge fait danser les morts et confronte la France à son passé

Pas de vacances pour William Kentridge, 69 ans, entre une série de vidéos présentées à Venise, une exposition rétrospective à Arles et la présentation dans la même ville de “The Great Yes, The Great No”. De Vichy à la Martinique, cet “opéra de poche” transatlantique s’ancre dans des périodes sombres de l’histoire française et brasse des thèmes présents dans toute l’œuvre de l’artiste pluridisciplinaire sud-africain : la violence, le colonialisme, la mémoire et, bien sûr, une poésie matinée de surréalisme. Visite guidée par le metteur en scène d’une création en mouvement, souvent drôle, émouvante et toujours inventive.

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