The Handmaid’s Tale
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Les pays dirigés par l’extrême droite n’ont jamais été favorables aux droits des femmes. Le roman dystopique de Margaret Atwood, “La Servante écralate”, aujourd’hui un classique du genre, en donnait une illustration terrifiante.
En repliant ses enjeux sur une rivalité féminine qu’elle gonfle artificiellement, la saison 5 risque, par-delà l’ennui, d’éroder la charge politique qu’avait gagnée la série jusqu’ici. Errance passagère, ou sortie de route définitive ?
La saison 5 vient d'être annoncée et sera diffusée à la rentrée. Une chose est sûre, l'histoire racontée par Bruce Miller (et adaptée d'un roman de Margaret Atwood) résonne tout particulièrement dans le contexte anti-IVG qui souffle actuellement outre-Atlantique.
Après une saison 3 assez faible en terme d’intrigues, le ras-le-bol de certain·es devant l’aspect “torture porn” de la série et son discours biologisant autour de la maternité, “The Handmaid’s Tale” s’était presque faite oublier. Et pourtant, après ces deux années d’absence, la quatrième saison s’avère étonnamment bouleversante et politique.
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Piégée depuis trois saisons dans une boucle infernale, June Osborn quitte sa cage pour explorer les voies dangereuses de la résistance. L’occasion pour la série de sortir enfin de ses gongs rouillés ?