streaming
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La plateforme française se déleste de 26 millions de “bruits blancs”, musiques d'ambiance, titres non écoutés depuis un an ou encore morceaux façonnés par IA. L'objectif annoncé ? Désencombrer, et ainsi mieux rémunérer les “vrai·es” artistes.
L'homme de 53 ans aurait reçu frauduleusement plus de 580 000 euros de redevances par des plateformes de streaming grâce à des robots automatisés et en s'appropriant des morceaux d'artistes, eux bien réels.
Le 17 janvier, les eurodéputé·es ont adopté une résolution visant à établir un cadre légal pour permettre aux artistes d’être rémunéré·es de façon plus équitable par les plateformes de streaming musical.
Le gouvernement a annoncé, mercredi 13 décembre, la mise en place d’une “taxe streaming”. Votée en novembre dernier par les sénateur·ices, la mesure ne fait pas l’unanimité auprès des acteur·ices du secteur.
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Alors que sa mise en place semblait en bonne voie, le projet de financement du Centre national de la musique (CNM) via une taxe streaming sur les chiffre d’affaires des plateformes, qui déchire le secteur de la musique enregistrée depuis un an, semble être une nouvelle fois à l’arrêt. Une autre solution, celle de la contribution volontaire, est étudiée de près.
Dans une étude publiée lundi 16 janvier, le Centre national de la musique, avec la contribution de plusieurs majors et plateformes de streaming, a apporté des éléments chiffrés sur une pratique qui gangrène l’ère streaming : le business des fausses écoutes qui concerne 1 à 3 % des streams. Une première mondiale.
Adopté de façon unanime, l'accord donne aux artistes de précieuses garanties concernant la diffusion de leur musique en streaming. Les plateforme de diffusion étaient, elles, absentes des discussions.
Pour accompagner les premiers jours du printemps, voici une sélection de films et documentaires à voir et revoir sur Arte.