sauvage
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Depuis des années, le Théâtre Suçoir donne pour représentation des pièces sans costume ni réplique. Sous les yeux d’un public voyeur, c’est toute la comédie humaine du porno in real life qui se donne à voir tous les deux ou trois mois. Rendez-vous sur une scène où les levées de rideaux sont des montées de sève.
Elle est partout. Thérèse Hargot a sorti Une jeunesse sexuellement libérée il y a quelques semaines, et depuis cette jeune sexologue écume plateaux et journaux pour affirmer que la sexualité des jeunes ne serait pas beaucoup plus libérée qu’avant mai 1968. Mais partout on oublie de pointer son puritanisme savamment dissimulé sous un prétendu néo-féminisme.
Samedi 16 janvier, Déborah de Robertis, 31 ans, se mettait nue devant L’Olympia de Manet au musée d’Orsay, un an après avoir exposé son sexe sous L’Origine du monde de Courbet. Placée en garde à vue suite à la plainte de l’établissement, l’artiste luxembourgeoise a écopé d’un rappel à la loi. Rencontre un froid matin de janvier autour d’un café.
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A la fin de l’année 2015, Stoya déclenchait un tremblement de terre dans l’industrie du X en révélant s’être fait violer par James Deen, son ex-petit ami avec qui elle formait un couple à la fois sulfureux, intello et glamour. Défenseuse d’un porno éthique, cette « performeuse » détonne avec ses tribunes au vitriol et son physique atypique dans un paysage cinématographique où le silicone et les UV règnent en maitres. Portrait.
Exit les producteurs, les acteurs imposés et les tournages à répétitions, les camgirls ont le contrôle de leur activité et bousculent le cyberporno.
De Marilyn Monroe à Mathieu Valbuena en passant par Paris Hilton ou Pamela Anderson, ces vidéos amateur dévoilant les ébats intimes de célébrités ont fait ou défait des carrières, endommagé des réputations ou amplifié des notoriétés, et même créé des légendes.
C’est le feuilleton sportif de l’automne: d’interviews en auditions, l’affaire dite de “la sextape de Valbuena” ne cesse de rebondir dans les médias. Ce n’est pourtant ni le premier ni le dernier exemple du genre, la toile recrachant régulièrement des vidéos explicites de people, le plus souvent des femmes. Mais désormais, le phénomène ne concerne plus exclusivement les célébrités.
Domina, fouets, pratiques SM, homme-esclave… ça vous parle? Moi, pas du tout. Alors que le deuxième volet de Fifty Shades of Grey est sur le point d’être tourné, j’ai voulu voir à quoi ressemble une soirée sadomaso “dominatrices et hommes soumis” à Paris. Par Cheek Magazine.
Plusieurs accusations de viol pèsent sur l’acteur porno James Deen depuis samedi 28 novembre. Celui-ci s’est défendu sur Twitter, alors que l’industrie du X le lâche.