sauvage
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Le maître italien explore le potentiel érotique et érogène de la technologie.
Plutôt habituée à la production de pastiches à la chaîne, WoodRocket propose avec Ask a Porn Star une série de confessions intimes aussi triviales qu’édifiantes.
Dans Chungking Express de Wong Kar-wai, 223 est le matricule du policier qui se promet de tomber amoureux de la première fille qui entrera dans un bar. C’est aussi, en hommage au film, le nom que s’est attribué le photographe originaire de Beijing Lin Zhipeng. Lumières bleues, parfois éclairées au flash, ses photographies fiévreuses et lascives le représentent lui et son entourage. Un portrait sur le vif, érotique et nocturne de la jeunesse chinoise contemporaine.
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Avec son appli BangFit, PornHub permet de reproduire, à deux ou en threesome, les positions les plus audacieuses en mode Kinect Sports. Un détournement des plus réussi.
L’essor de la réalité virtuelle ne pouvait échapper à l’industrie du sexe, qui a toujours été à la pointe de l’innovation : notre plongée dans le porno immersif.
« Si cela existe, il y a un équivalent porno”, proclame la fameuse règle 34, sagesse populaire des internets. Les collages du Madrilène Jorge Chamorro, graphiste le jour, n’y dérogent pas. Confectionnées à la force du poignet, ses œuvres font furieusement penser à une version sous le manteau des toiles de John Baldessari, le pape de l’art conceptuel, qui lui aussi maîtrisait comme personne le photo-collage, mais aussi et surtout l’art de l’ellipse très bien placée.
Dans le Spécial Sexe 2015 des Inrocks, on évoquait le jeu indépendant Hurt Me Plenty, où l’on fessait son partenaire masculin. Son créateur newyorkais Robert Yang en a d’autres sous le coude, tous gratuits, sur son site debacle.us. Stick Shift (la branlette du levier de vitesse dans sa voiture, soit un rêve pour le Nicolas […]
Elles sont riquiqui, recroquevillées, raplapla, fripées et parfois toutes mimi. Les petites bestioles qui s’exhibent timidement sur fonds de couleurs pastel n’ont rien d’héroïques. Et pourtant, il faut bien voir dans ces images scrupuleusement mises en scène un pendant à la “dick-pic”, cet autre cliché de l’organe mâle, érigé et prêt à l’emploi, aussi vieux que le premier Nokia à appareil photo intégré. Pleine de malice, la série du photographe Hervé plante l’air de rien une épingle dans le ballon de baudruche du mythe du “Grand Pénis Glorieux”, pour s’en aller montrer l’envers du décor et le relâchement des troupes en coulisse.
En entremêlant, dans Fucking in Love, le romantisme de “love” et la brutalité du “fucking”, Justine Pluvinage réalise un autoportrait documentaire de son goût assumé de la sexualité.
Les marabouts proposent des solutions, pas toujours bon marché, à tous les problèmes, notamment ceux liés à l’érection. Rencontre avec ces étonnants sorciers pour tenter de mettre un terme à une situation platonique, nique nique.