mode
{"type":"Banniere-Haute"}
Du 13 au 15 juin 2024, la cour du Palais Galliera se transforme en salle de cinéma en plein air, proposant une programmation en écho avec l’exposition “La Mode en mouvement”.
Le monde de la mode a été réveillé, ce matin, en sursaut par l’annonce du départ de Chanel de Virginie Viard.
De nombreux hommages se suivent depuis l'annonce du décès de l'artiste Benjamin Vautier, dit Ben, ce mercredi 5 juin. Dont celui du styliste et créateur de mode Jean-Charles de Castelbajac.
La créatrice, qui a grandi à Beyrouth, vient de signer les costumes de la nouvelle adaptation cinématographique de “Bonjour Tristesse”, dont la sortie est prévue pour l’automne 2024. Depuis 8 ans, elle construit, à travers sa marque artisanale Renaissance Renaissance, une garde-robe entre poésie et pragmatisme. Tout en portant une vision optimiste sur la création de mode, elle revient ici sur les œillères d’un système encore sexiste et raciste.
{"type":"Banniere-Basse"}
Un ouvrage entre recherche académique et création dirigé par Mathieu Buard, Céline Mallet et Aurélie Mossé, la rencontre entre Saint Laurent Rive Droite et les archives Gio Ponti, la maison de bijoux ALT et le flagship Burberry… C’est le cool de la semaine.
Dries Van Noten, l’un des grands noms de la mode actuelle, a annoncé prendre sa retraite.
Au cœur des années 2000, divers courants subculturels (Mods, punk, new wave) s’agrègent en un mouvement musical, vestimentaire et technologique qu’on nomme aujourd’hui indie sleaze. Une tendance tournée vers le passé qui séduit à nouveau aujourd’hui une mode friande de fluidité et d’hybridité.
Entre performances télévisées, tapis rouges, clips, outfits de marques et stylistes sursollicité·es, quel·les sont les artistes de la musique les mieux sapé·es ? Le top 25 du magazine américain “Rolling Stone” est sorti !
Un invité ou une invitée répond à nos questions indiscrètes. Ce mois-ci, le directeur artistique de Courrèges et président du jury mode du Festival de Hyères nous parle de techno belge et de nœud papillon en bois.
En ce début d’année, le cool se love dans un café intimiste, des bijoux postpunk et glam, dans le trash des années 2000 ou dans le revival d’un sac des seventies.
L’une est championne du monde de fleuret, l’autre est une créatrice estonienne innovante : pour l’une comme pour l’autre, trouver des solutions pour libérer le corps féminin, et en proposer de nouvelles représentations, est une quête centrale. Double rencontre.
Pour 2024, ces nouvelles créatrices donnent l’espoir de voir éclore une créations plus éthique et inclusive.
Référence aux vêtements portés dans les bureaux de Wall Street, l’office wear est simultanément le symbole d’une progression féminine blanche dans les années 1980 et l’illustration d’un idéal de la masculinité patriarcal néolibéral. Quatre décennies plus tard comment la mode actualise-t-elle ces signifiants ?
Ex-party girl londonienne, à l’orée des années 2000, celle qui a marqué la dernière décennie avec ses pièces rétrospectivement qualifiées “quiet luxury”, lançait, le 30 octobre dernier à 15 h 00, sa première collection à son nom, composée de pièces impeccables au prix dispendieux, vendues en moins de 48 heures. Décryptage.