Lydie Salvayre
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Pour l’autrice de “Pas pleurer”, il faut relire Klaus Mann et Hannah Arendt.
L’autrice française interpelle notre époque avec un essai sous forme de lettres d’amour à Don Quichotte et son auteur Miguel de Cervantès.
Selon l’auteure de Pas pleurer, “le discours de Daech a désormais pénétré notre imaginaire collectif”, en témoigne encore le récent drame de Trappes. Selon elle, il s’agit désormais pour notre société, plutôt que d’éteindre les radicalités, de les transformer en un puissant désir d’être et de vivre.
L’auteure du récent Tout homme est une nuit, Goncourt en 2014 avec Pas pleurer, redoute la perte ou la transformation de “l’érotique” propre au cinéma, et nous invite à regarder et écouter Picasso, ce célébrateur inconditionnel de la vie, des femmes et de la sensualité des corps.
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L’écrivaine revient sur l’affaire Harvey Weinstein, symbole de la domination des plus puissants sur les plus fragiles, dont Johnny Hallyday fut le porte-voix. Et rend hommage au chanteur.
Un étranger en butte à l’hostilité de villageois. Dans son nouveau livre, l’auteure met en scène ce rejet qui toujours se rejoue.
Nous sommes à peine à la mi-septembre et déjà les mêmes titres dans les mêmes bouches, les mêmes playlists dans les mêmes médias, les mêmes engouements programmés qui dureront ce que durent les roses, les mêmes opinions cueillies dans les mêmes chroniques et servies telles quelles avec le gigot, et les mêmes craintes affolées de manquer le […]
L’auteure de La Compagnie des spectres ou Pas pleurer tonne contre les classements arbitraires, le marketing tout-puissant et le mépris culturel qui caractérisent la rentrée littéraire. Plongeant dans l’anonymat toute une production qui ne rentre ni dans les cases, ni dans les schémas préfabriqués du marché des livres et des écrivains.Elle est seulement la onzième femme à recevoir le plus prestigieux prix littéraire français.