livres
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“Le monde entier est une histoire inventée. Ceux qui détiennent le pouvoir en fixent les personnages, les angles, la forme. Je crois au pouvoir d’un nom –testament ou hommage, réveil à la mémoire ou évocation”, écrit V dans le plus beau texte de ce recueil, “V : songe autour de mon nouveau nom”, où elle s’imagine une famille, invente un peuple dont elle serait issue, un monde qui lui conviendrait, qui nous conviendrait à tous·tes.
Parmi les meilleurs ventes de la semaine : Luz et Geluck côtoient les nouvelles fulgurances de la littérature manga “Spy x Family” et “Chainsaw Man” !
La semaine dernière, nous remettions en question la nécessité des sensitivity readers, ce nouveau concept qui va à l’encontre du principe même de littérature. Un travail de relecture qui, de plus, est déjà fait par l’éditeur·ice.
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“Livres Hebdo” a livré son classement hebdomadaire des meilleures ventes de la semaine. Pour celle du 4 au 10 septembre, c’est Panayotis Pascot qui se classe en tête.
L’autrice mexicaine Cristina Rivera Garza revient sur le meurtre de sa sœur, survenu en 1990. Un livre majeur qui se fait tour à tour récit sur le deuil, roman policier, essai féministe et réflexion sur l’écriture. Entretien.
Le nouveau roman d’Éric Reinhardt, “Sarah, Susanne et l’écrivain” (Gallimard) serait-il en train de devenir le symbole, sinon l’otage, d’une rentrée marquée par des luttes idéologiques ?
Déjà récipiendaire de plusieurs prix littéraires, l’auteur français a reçu ce mercredi 30 août le prix du roman Fnac pour “Veiller sur elle”, paru aux éditions l’Iconoclaste.
Plusieurs personnages transgenres ou non binaires sont au centre de romans passionnants. Comme si le sujet interrogeait forcément le genre romanesque lui-même.
L’écrivain revient sur la polémique créée par son entretien avec Michel Onfray, les accusations d’Islamophobie à son égard, mais surtout les déboires de sa tentative de film porno. Résultat : un exercice de vengeance fastidieux dénué de toute littérature.
Dans son tout dernier livre publié avant de disparaître en 2018, Aharon Appelfeld fait le portrait d’une femme qui se révolte, sur fond de pogroms en Ukraine et de violence patriarcale. Un puissant conte philosophique.