Krzysztof Warlikowski
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En nous plongeant dans les méandres de l’expérience humaine, le metteur en scène polonais livre une méditation sur la transmission, la vieillesse et la disparition.
Une plongée dans l’œuvre de J. M. Coetzee en forme de bouleversante méditation sur la transmission, la vieillesse et la disparition.
Soirée de première à l’opéra Bastille pour un très attendu Hamlet qui, sous la baguette de Pierre Dumoussaud, réunit des interprètes d’exception, Ludovic Tézier, Ève-Maud Hubeaux et Lisette Oropesa… L’occasion de vérifier que le metteur en scène polonais Krzysztof Warlikowski demeure à soixante ans un trublion de l’art lyrique et un empêcheur de chanter en rond.
En créant jusqu'au 9 avril “Hamlet”, l’opéra romantique d’Ambroise Thomas à l'Opéra de Paris, Krzysztof Warlikowski retrouve l’univers shakespearien de ses débuts à l’orée des années 2000. Entretien avec le metteur en scène polonais avec qui on a parlé de travail d'équipe, de la réception de ses premiers opéras en France et de spectres.
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Absent·es pour cause de tournée, la chorégraphe brésilienne Lia Rodrigues et le metteur en scène polonais Krzysztof Warlikowski étaient néanmoins dans toutes les têtes lors de cette cérémonie de remise des prix du syndicat de la critique.
Avec l’ultime opéra de Leonard Bernstein, le maestro Kent Nagano et le metteur en scène Krzysztof Warlikowski signent une création qui fera date à l’Opéra de Paris.
Sacrifice, inceste, xénophobie : l’Iphigénie de Gluck vue par Krzysztof Warlikowski, pour sa reprise à l’Opéra de Paris, continue de régler ses comptes avec nos vieux démons.