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En suivant trois joueurs de haut niveau, le documentariste Hervé Martin-Delpierre montre, dans un récit haletant, le caractère compétitif de l’e-sport.
Prenant pour cadre la Première Guerre mondiale, le nouveau volet de la saga « Battlefield » se révèle aussi intense à jouer que respectueux de l’histoire et de ses acteurs. Et prouve qu’un blockbuster vidéoludique de fin d’année peut aussi être un jeu sensible et intelligent.
Ça y est : Nintendo a enfin dévoilé sa nouvelle console, attendue au mois de mars 2017. A la fois console portable et de salon, la Switch va s’appuyer sur un concept radicalement nouveau pour succéder à l’impopulaire Wii U. Et déchaîne déjà les passions.
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Dernier arrivé sur le marché naissant des casques de réalité virtuelle, celui conçu par Sony pour sa PS4 est le premier à viser ouvertement le grand-public. La rencontre avec les nombreux jeux qui accompagnent son lancement est sidérante.
Sensation indé du moment, « Virginia » nous charge d’enquêter sur une disparition d’enfant dans l’Amérique des années 1990. Mais ce jeu au style très singulier dans lequel aucun mot n’est prononcé est aussi un sidérant voyage aux frontières du récit interactif.
Principale nouveauté de l’édition 2017 de la reine des simulations de foot : un mode « Aventure » qui nous confie le destin d’un jeune espoir britannique. Malgré ses imperfections, l’expérience qui en découle est une révélation.
Plus populaire que « Final Fantasy » au Japon, la saga « Dragon Quest » fête ses 30 ans. En attendant son épisode XI (promis pour 2017 au pays du Soleil Levant) et alors qu’une somptueuse adaptation du VII paraît sur Nintendo 3DS, voici les neuf raisons de sa grandeur.
Chanteuse virtuelle devenue une icône au Japon ainsi qu’un incroyable phénomène internet, la pétillante Hatsune Miku est aussi la star d’une série de jeux musicaux. Aussi subtil qu’exubérant, le dernier en date, « Project DIVA X », est aussi le plus renversant.
D’un côté, une féerique balade en forêt en compagnie d’un petit renard agile. De l’autre, de la baston de série B dans l’Union Soviétique des années 1980. En cette rentrée, le jeu indépendant français fait le grand écart mais n’oublie pas l’essentiel : le style.
Sombre et dense, fiévreusement politique et remarquablement intelligent, « Mankind Divided » fait figure d’aboutissement pour la saga cyberpunk « Deus Ex » qui marie jeu de rôle et action. Plus que jamais, c’est le joueur qui donne le ton.