Hyperpop
{"type":"Banniere-Haute"}
Dans un brillant essai, Julie Ackermann ne cesse de dresser des liens entre les caractéristiques musicales du genre de l’hyperpop et le capitalisme numérique dans lequel nous vivons.
Pas aussi irrévérencieux qu'il aimerait l'être, le nouvel album de l'Anglaise se révèle néanmoins, à l'image de sa pochette, dans une certaine sobriété qui figure un réjouissant effort de décomplexion.
L’ex-patron de PC Music a à l’esprit de perpétuer son héritage sur un gargantuesque triple album, qui prolonge davantage son savoir-faire qu’il ne sonde les possibles inexplorés de sa musique.
Le producteur A. G. Cook a annoncé le 27 juin que son label cessera de publier de la musique originale après la fin de l'année. Une nouvelle qui tombe à l’heure où, pour le meilleur comme pour le pire, l'hyperpop mute en créneau stylistique. De quoi poser la question de l'héritage que laissera la structure qui aura contribué à son émergence.
{"type":"Banniere-Basse"}
Très populaire depuis l’avènement de TikTok, dont elle fournit une grande partie de la bande-son, l’hyperpop est un genre hyperlatif : BPM hauts, Auto-Tune facile, avalanche de sons d’origine numérique… Et si c’était elle qui incarnait le mieux les soubresauts et les états d’âme de notre siècle ?
Pour illustrer son nouveau single, Montero (“Call Me By Your Name”), la star américaine du country rap a pondu un clip à l’esthétique flamboyante, repoussant les limites de la pop. Analyse.