Furiosa
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Toujours au premier plan du box-office national, la comédie d’Arthus est devenue le plus gros succès de l’année dans l’Hexagone, avec un score de 4,6 millions d’entrées.
Comme attendu, le nouveau blockbuster de la saga “Mad Max” s'impose en tête dans le classement des sorties.
Parce que le festival propose des films issus d’horizons (géographiques, économiques) plus divers que n’importe quelle autre manifestation au monde, à Cannes plus qu’ailleurs, les films créent entre eux des jonctions poétiques surprenantes, des rapprochements inattendus.
C’est avec une excitation striée de craintes que l’on attendait ce préquel à “Mad Max: Fury Road”, c’est-à-dire avec l’irrésistible espoir de revivre la sidération de 2015 devant ce que l’histoire retiendra au bas mot comme le blockbuster de la décennie, et en même temps la lucidité de reconnaître que ces épiphanies ne sont pas faites pour être rééditées. “Furiosa” ne pouvait pas être à nouveau “Fury Road” ; alors, il fallut qu’il fût autre chose.
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