festival de cannes
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Dans un nouveau podcast, France Inter propose un condensé d’extraits tirés d’émissions du “Masque et la Plume”, consacrées aux Palmes d’or. Une occasion de (re)découvrir les débats houleux qu’elles ont pu susciter.
Thierry Frémaux, le délégué général du Festival de Cannes, répond aux questions des journalistes de “Variety” sur l’hypothétique sélection de cinéastes accusés de violences sexuelles.
L'actrice a été choisie comme maîtresse des cérémonies d’ouverture et de clôture pour la 77e édition du Festival de Cannes, qui se déroulera du 14 au 25 mai prochains.
Après avoir signé “Barbie” cet été, la cinéaste sera la présidente du jury du Festival de Cannes 2024, et aura la délicate tâche de désigner la prochaine Palme d’or…
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Le réalisateur iranien Saeed Roustaee emprisonné pour propagande “antirégime” a reçu une vague de soutien du milieu du cinéma.
Maîtrise du décor et de l'espace, malice du scénario, acteurs épatants : un premier film à la fois effrayant et drôle.
Un film de procès et beaucoup plus qu'un simple film de procès. Magnifique et haletant, de bout en bout.
Le dernier opus de la célèbre saga, réalisé par James Mangold, livre une mise en scène monotone, sans grand intérêt.
Au milieu des robes de princesses et parure à milles paillettes, l’actrice Helen Miren dénonce l’âgisme à travers un coup capillaire, le casting du dernier Almodovar questionne les normes de masculinité et Bilal Hassani rend hommage à l’avant-garde de la mode… C’est le cool spécial Cannes 2023.
Le réalisateur signe un film lourd et mal interprété, malgré un sujet intéressant.
Le Festival de Cannes offre une large exposition médiatique mondiale à l’industrie du cinéma, y compris ses travers. Le Collectif des précaires des festivals de cinéma signe une tribune dans “Libération” pour alerter de la précarité de celles et ceux qui font tourner la machine.
L'œuvre que construit Wang Bing depuis vingt ans s'agrandit avec “Jeunesse” : le portrait impitoyable de la Chine moderne.
Ce nouveau long-métrage décortique de façon prosaïque et sèche les ressorts du procès de Pierre Goldman, activiste d'extrême gauche, accusé d’avoir tué lors d’un vol à main armée deux pharmaciennes, en 1969.
Tous les projecteurs sont braqués sur elle. Son film, “Jeanne du Barry”, a fait l'ouverture du Festival, mais c'est surtout l'allure désinvolte et provocante de la réalisatrice qui fascine et explique une telle couverture médiatique.