édito
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L’un des événements éditoriaux de ce début mars est, sans conteste, la traduction de la monumentale biographie de Kafka, signée Reiner Stach. Du moins de son premier volume – plus de 900 pages –, “Kafka. Le Temps des décisions”, qui paraît enfin en France vingt et un ans après sa publication en Allemagne. Un premier volume sur les trois que compte la totalité de ce travail titanesque, qui a requis à lui seul dix ans d’enquête et d’écriture à Stach, par ailleurs critique et éditeur allemand.
Juliette Binoche en pleine cérémonie des César répond à Jamel Debbouze et défend le film “Avec amour et acharnement” de Claire Denis.
Si à l'Opéra de Paris, les danseur·euses ne dépassent pas les 42 ans, ailleurs dans la danse contemporaine “old is – still - beautiful”. La preuve avec ces spectacles qui mettent en scène d'autres corps.
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The Tubs, un groupe à guitares de Londres, découvert grâce à une rencontre furtive dans le train.
“Une journée inutile” de Janine Brégeon invite à réfléchir à l'inaction comme acte de résistance.
Le Centre Pompidou annonce l’acquisition d’un ensemble de NFT et cela soulève des questions.
Salman Rushdie annonce la sortie de son nouveau roman “Victory City”.
Tous deux en salles, “Tár” de Todd Field et “Babylon” de Damien Chazelle questionnent la place de l'art dans la société.
Comme tout le monde le sait, le 14 février, c’est la Saint-Valentin, la fête des amoureux et des amoureuses, qui ressemble, chaque année, de plus en plus à une foire commerciale qu’au bal des cœurs énamourés.
Il y a exactement soixante ans, le 11 février 1963, Sylvia Plath se suicidait au gaz, après avoir pris soin de laisser du pain et du lait à ses deux enfants endormi·es dans le même appartement, un duplex de Primrose Hill à Londres.