Critiques
Réalisé par Béatrice de Staël et Léo Wolfenstein, le long métrage, qui suit la rencontre entre Marie, une mère de famille désœuvrée, et Martin, un jeune homme particulièrement inquiétant, sort en salle ce mercredi.
Premier film du metteur en scène roumain, “Poppy Field” suit les péripéties de Cristi, un policier gay roumain confronté à l'homophobie d'une partie de la société dans un huis clos captivant.
Première signature de Livres Agités, nouvelle maison d'édition consacrée à la parution de primo-romancières, la jeune autrice Mona Messine signe “Biche”, un huis clos cruel et poétique sur le face-à-face d’un chasseur et d’un animal insoumis. Un conte écologique singulier et éclairé.
Recevoir l’agenda de la semaine
En salles le 28 septembre, le premier long métrage de Léopold Legrand dresse un portrait caricatural de deux couples que tout oppose, réuni·es autour de la naissance prochaine d'un enfant.
Si l'épopée historique explose au box-office américain, elle pose cependant de nombreuses questions éthiques, promouvant notamment une interprétation très occidentalisée, voire presque fétichisée, de la culture africaine.
Dans son nouvel ouvrage, “La Seconde femme - Ce que les actrices font à la vieillesse”, Murielle Joudet dresse de très beaux portraits d'actrices qui, toutes, composent avec la “seconde femme” qui entre en scène “lorsque la jeunesse meurt”.
Avancez à contre-courant
Votre magazine chez vous, tous les articles sur le numérique, les archives depuis 1995, vos newsletters exclusives et les Inrocks Radio en qualité supérieure. Et bien plus encore.
Autour d’Albertine, le personnage fictionnel de “La Recherche” de Marcel Proust, l’exposition “La Fugitive” rassemble une quinzaine d’artistes décidé·es à prendre l’espace sans cependant s’y donner. Tentative d’autodétermination.
Joséphine de Meaux et Mériam Korichi sortent des cartons “La Cuisse du steward”, de Jean-Michel Ribes. Un grand cru millésimé 1990 qu'elles mettent en scène avec brio.
La première production du studio australien Ghost Pattern nous fait partager un week-end de la vie des pensionnaires d’un étrange hôpital flottant dans les airs.
À la galerie Mitterrand à Paris, l’artiste iranien Mamali Shafahi tisse un univers halluciné où l’histoire, la grande et la petite, prend des allures de remontées acides. Un bestiaire enchanté et tuné, ouvrant sur une quête familiale.
