Critiques
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LA BELLE ET LA BETE DE JEAN COCTEAU (1945)
avec Jean Marais et Josette Day (1 h 36, Studio Canal, environ 25 e)
LE FILM : Que veut une jeune fille ? Quelle météorologie instable anime ce qui se passe dans sa tête ? C’est l’essentiel du questionnement de La Belle et la Bête, féerie au noir de Jean Cocteau et première incursion comme réalisateur dans le cinéma tous publics (quinze ans après un premier coup d’éclat dans le film d’art avec Le Sang d’un poète).
HANTISE
de George Cukor
avec Ingrid Bergman, Charles Boyer,
Joseph Cotten (Etats-Unis, 1944, 1h44)
La version Cukor d’un genre clé du cinéma
hollywoodien des années 4O : l’épouse menacée
de mort par son mari.
Voilà les anges.Premier long métrage de Bresson, qui n’a pas encore radicalisé sa forme, Les Anges du péché est porté par une grâce juvénile.
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THE PALM BEACH STORY (REPRISE)
de Preston Sturges
avec Claudette Colbert, Joel McCrea, Mary Astor
(E.
FEMMES (THE WOMEN)
de George Cukor
avec Norma Shearer,Joan Crawford, Rosalind
Russell,Joan Fontaine (E.
ABUS DE CONFIANCE d’Henri Decoin
avec Danielle Darrieux et Charles Vanel (1937)
(René Château, 15 €)
Un très bon film noir, élégant écrin à l’éclat
de Danielle Darrieux.
REPRISE
HAUTE PEGRE (TROUBLE IN PARADISE)
D’ERNST LUBITSCH (1932)
avec Herbert Marshall, Miriam Hopkins, Kay Francis
Escroquerie et séduction, prestidigitation et arnaque : un Lubitsch qui vole haut.
METROPOLIS
23.
Macunaíma est un des héros légendaires les plus anciens de la culture indienne du Brésil. Quand l’écrivain Mário de Andrade le découvre au début des années 1920, il perçoit combien ce petit personnage malicieux et comique incarne l’esprit et le particularisme du Brésil. En 1926, il en tire un roman célèbre, dont le cinéaste Joaquim […]
Quatre vignettes pour un groupe qui n’existe déjà plus : Let It Be ne convainc qu’à moitié. En dépit de nombreuses fulgurances.