critique
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Du réalisme à la fantaisie, ces autrices s’interrogent chacune à sa façon sur la famille. Et mettent en scène une volonté farouche de déjouer l’hérédité.
Un premier roman percutant qui réfléchit à la manière dont les traumas infusent le langage. Une des meilleures découvertes de la rentrée.
La première exposition institutionnelle en France du duo d’artistes Elmgreen & Dragset, connus pour leurs dispositifs sculpturaux d’architectures ordinaires, convie à un parcours labyrinthique à la fois existentiel et absurde. Où l’on passe du HLM à l’open space, à travers une mise en scène magistrale de la vie moderne en société.
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L’historien et écrivain se penche sur la trajectoire d’auteur-compositeur star de la variété eighties pour explorer en creux la culture populaire.
À travers ses sculptures qui se jouent de l’échelle des images numériques, l’artiste australien investigue les polarités de la vie et propose un parcours existentiel fascinant.
Avec une extrême économie de moyens mais beaucoup de clairvoyance, Tizza Covi et Rainer Frimmel décrivent la vie de Vera Gemma, comédienne peinant à exister par elle-même.
Une mort brutale, une coupable idéale, un interrogatoire... et le procès se transforme en analyse fascinante de la complexité des liens conjugaux et de l’âme humaine.
Le musicien américain assume son amour pour la note bleue et compose, entre groove et spleen, l’album parfait pour celles et ceux qui ont des larmes à pleurer.
Lav Diaz signe un face-à-face à distance sous forme de longue errance dans un pays malade du crime.
Henry James transposé avec une grande liberté dans le présent perpétuel d’une boîte de nuit, où la vie se rêve en dansant.