critique
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Une analyse de la grossophobie, des archives autour de Godard, une histoire de pieds, un souvenir de collège, une voix qui a changé et l’importance de la pop.
À la fois pointu dans ses analyses et sensible à la musique populaire, ce programme anglophone réserve de passionnants moments et fait preuve d’une étonnante diversité.
Le long métrage signé Vanessa Filho pâtit, avec un sujet aussi sensible, de ses partis pris formels maladroits.
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La compagnie Pris dans les phares nous entraîne au fond des bois sur les pas d’une ermite pour une promenade sylvestre qui laisse toute sa place à l’improvisation.
Vincent Dedienne et Suzanne de Baecque sont irrésistibles en mariés de fantaisie au service des impayables tribulations imaginées par l’orfèvre Eugène Labiche.
Dans une marche théâtralisée, dansée et en musique, le collectif genevois OUINCH OUINCH réenchante le réel et fait voler en éclats le quatrième mur.
Alors que vient de paraître le magnifique “Everything Is Alive”, retour sur le parcours cabossé du groupe de Neil Halstead et Rachel Goswell.
Par sa beauté plastique et ses questionnements bouleversants, le film d’Iris Kaltenbäck tisse une toile de mensonge autour d’Hafsia Herzi, grande héroïne de fiction.
Dans “L’Opposé de la blancheur – Réflexions sur le problème blanc”, l’autrice de “Rouge Impératrice” signe un essai sur un sujet qui reste un point aveugle du débat public : la reconnaissance des ravages du colonialisme et de l’esclavage.
L’auteur anglais mêle différentes formes de récit pour raconter six trajectoires de vie dans un quartier depuis longtemps abandonné par les politiques.