critique
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Sous le soleil de Floride, la série de Taylor Tate est une chronique complaisante d’un monde refermé sur lui-même et déconnecté du reste du pays.
Avec ce premier film signé Ariane Louis-Seize, le Québec confirme être une grande région productrice de comédies d’auteur·rices décalé·es. À l’ordre du jour : des vampires qui ont trop d’empathie pour nous dévorer tous·tes cru·es… Mais malgré des qualités évidentes, la sauce ne prend pas totalement.
Dans une France en proie à une crise politique et sociale profonde, la moindre étincelle est hautement inflammable. Par le prisme du football, la série scrute avec une rare hauteur de vue les batailles politiques qui traversent notre société et font monter la température.
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Maxime Rappaz compose une élégie fulgurante de bontés et de beautés, pour une femme tiraillée entre sa vie amoureuse et ses obligations maternelles.
Moins d’un an après la sortie en salle du beau “Sur l’Adamant”, le documentariste Nicolas Philibert poursuit son étude humaniste des structures médico-psychologiques et de leur public.
L’ex-Wall of Death signe un objet fragile, poétique et ultra-personnel, accompagné d’une pléiade d’interprètes dont Dominique A, P.R2B, Alain Chamfort ou Lescop.
Première partie d’un triptyque voué à être dévoilé tout au long de l’année, “Lueurs célestes” a beau être porté par le souffle de la modernité et se refuser à la ringardise, le charme et la pertinence du propos font parfois défaut.
Le Britannique, ex-Weather Prophets, rappelle combien son songwriting gracieux et intemporel mérite d’être sans cesse redécouvert.
Dans son troisième film, Sana Na N’Hada raconte la guerre d’indépendance de la Guinée-Bissau. Un long métrage puissant et onirique.
Une comédie délirante et très drôle, surtout grâce à Blanche Gardin.
