critique
{"type":"Banniere-Haute"}
On prend les mêmes et on recommence ? Hélas, la recette pop du 1 vire ici au flop.
Méconnaissable en inspectrice en proie à son passé, Nicole Kidman s’auto-destroy dans un thriller totalement raté.
Troisième volet de la fable satirique à rallonge. En effet, l’empire touche le fond.
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Une comédie rance et gorgée de cynisme sur une amitié dans le monde de la peinture.
La harpiste montréalaise opère une mue sous son nom propre et apaise ses maux à la croisée d’une indie pop éthérée et d’une electro aquatique. Parce qu’il n’y a pas que Joanna Newsom dans la vie.
On avait laissé rustin man en 2002 aux côtés de Beth Gibbons. Loin de s’oxyder, l’ex-Talk Talk a pris le temps de charpenter un album solo minutieux et énigmatique.
Une séduisante singularité confirmée dans un petit bijou de pop décalée.
Artiste à la voix inclassable, aussi à l’aise en français qu’en anglais, la jeune femme dévoile un ambitieux coup d’essai dansant et électrisant.
Personne ne l’avait vu venir : le deuxième effort des Anglais est tout simplement fascinant.
Une BO funambule pour un spectacle-ovni : Vimala Pons et Tsirihaka Harrivel ont pressé sur vinyle la musique de Grande, entre chanson sous acide, cabaret déglingué et electro extraterrestre.