critique
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Dans “Culbuter le malheur”, Beata Umubyeyi Mairesse fait de l'indicible une matière à poésie.
Cinq ans de maturation ont été nécessaires à la bande d’Ezra Koenig pour repousser les limites de sa créativité et livrer peut-être leur meilleur album ever.
Avec L.A. en toile de fond, l’acteur irlandais incarne un cinéphile et “old school”.
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Soutenu par une coproduction de Money Mark, le groupe mené par Ahmed Gallab noie dans un collectif trop élargi son louable projet de mixer rock, funk et electroclash.
Désormais alliés, Kong et Godzilla se retrouvent une nouvelle fois. Leur ennemi commun ? Star King, un gigantesque orang-outan qui a pris le pouvoir dans le monde des titans. Au programme, des effets spéciaux numériques à gogo et des combats cosmiques.
Une rom com avec la crise migratoire comme arrière-plan qui élude totalement la question politique.
Après Clouzot et Friedkin, Julien Leclercq est le troisième à adapter le roman de Georges Arnaud, transformé en sucrerie burnée, indigne de sa noirceur.
Le trio renoue avec ses racines instrumentales et plurielles. Avec, toujours, l’ambition de composer des chansons joueuses sur lesquelles dub, blues et psyché dansent alanguis.
Près d’une décennie après “Anthems for Doom Youth”, voici “All Quiet on the Eastern Esplanade” où le duo Doherty/Barât conserve son art du songwriting propice à générer des classiques instantanés.
Sur les traces de Catherine Ringer et de Brigitte Fontaine, l’autrice de “Sexy Planet” poursuit, avec “Nini”, sa réinvention de la chanson française.